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Tel est le principal constat du nouveau rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) publié lundi à Genève. Avec la progression du réchauffement climatique, ses effets sont désormais généralisés et souvent irréversibles, alertent les chercheurs.
Le changement climatique induit par l'homme provoque ainsi des « bouleversements dangereux » dans la nature et affecte la vie de milliards de personnes dans le monde, malgré les efforts déployés pour réduire les risques. Les personnes et les écosystèmes les moins aptes à faire face sont les plus durement touchés, affirment les scientifiques du GIEC.
D'une manière générale, le texte dresse un tableau sans fin des souffrances endurées par l'humanité frappée par les impacts du réchauffement de la planète auxquels elle n'est pas suffisamment préparée. Dans leur analyse, les scientifiques montrent que les changements climatiques portent atteinte déjà aujourd'hui à l'être humain et à la nature.
Par exemple, certaines maladies deviennent plus fréquentes et la sécurité alimentaire diminue. Les effets du climat frapperont finalement les sociétés de manière intolérable, multipliant les menaces sur la production alimentaire, l'approvisionnement en eau, la santé humaine ou les infrastructures côtières.
Il s'agit d'un sombre tableau que dresse le GIEC dans ce deuxième volet de son sixième rapport d'évaluation. Il montre que le changement climatique constitue une menace grave et croissante pour le bien-être humain et la santé de la planète.
« Ce rapport est un terrible avertissement sur les conséquences de l'inaction », a affirmé l'économiste sud-coréen Hoesung Lee, président du GIEC.
Finalement, ce nouveau rapport du GIEC reste « un recueil de la souffrance humaine et une accusation accablante envers l'échec des dirigeants dans la lutte contre les changements climatiques », a déclaré pour sa part, le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, pointant du doigt une « abdication de leadership criminelle ». « Les coupables sont les plus grands pollueurs du monde, qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons », a-t-il dit.
Pourtant, près de la moitié de l'humanité vit dans la zone de danger – aujourd'hui et maintenant. « De nombreux écosystèmes ont atteint le point de non-retour – aujourd'hui et maintenant (...) Les faits sont là, indéniables », a-t-il ajouté dans un message vidéo.
Pour le chef de l'ONU, le rapport du GIEC met en évidence deux vérités fondamentales. « La première est que le charbon et les autres combustibles fossiles étouffent l'humanité », a insisté António Guterres, rappelant que ces combustibles fossiles sont une impasse pour la planète, l'humanité et pour les économies aussi.
« La deuxième vérité, un peu plus positive, est que l'investissement dans l'adaptation aux changements climatiques marche. L'adaptation sauve des vies ». Mais les financements, et les engagements pris pour renforcer l'aide aux pays en développement en matière d'adaptation, sont « clairement insuffisants », a-t-il regretté.
Face à ce tableau peu reluisant, « perdre du temps, c'est périr », a souligné le chef de l'ONU, rappelant que « chaque fraction de degré compte ». « Chaque voix peut changer la donne. Et chaque seconde compte », a-t-il insisté, relevant que « le moment est venu de transformer cette rage en actes ».
Ce sombre bilan dressé par le GIEC est le deuxième volet de son sixième rapport d'évaluation. Le nouveau document, rédigé par 270 scientifiques du monde entier à partir de l'analyse de 34.000 études, est bien plus alarmant que le précédent qui datait de 2014.
Selon le GIEC, le pire est encore à venir. Même en limitant le réchauffement climatique à 1,5 °C [par rapport à l'ère préindustrielle], « le monde s'expose à de multiples aléas climatiques inévitables dans les deux décennies à venir », ont souligné les scientifiques. Ces phénomènes météorologiques extrêmes se produisent simultanément, entraînant des répercussions en cascade de plus en plus difficiles à gérer. Avec, à la clé, encore davantage de pénuries, de pauvreté, de famines ou de conflits.
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